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Le terme singularité regroupe plusieurs phénomènes physiques ayant pour point commun la variation brutale d'une composante (énergie, densité du vide, masse, etc.).

La théorie des Singularités Isomorphes de Irnman Fariel émet l'hypothèse que toute singularité vient avant tout d'une anomalie au niveau de l'essence du vide.

Singularités Vacuitiques[]

Les singularités vacuitiques désignent toute anomalie dans la topologie de l'essence du vide qui soit directement observable.

On classe ces singularités selon quatre critères : la forme globale, la direction de la déformation, la nature de la déformation (souvent exprimée via la nature des effets observés) et l'intensité du phénomène.

Formes[]

Les singularités vacuitiques peuvent être affublées d'un grand nombre de formes variées. La théorie ne prévoit pas vraiment de contrainte sur les formes que l'on peut rencontrée, mais il n'a été observé que trois grandes formes de singularités : les variétés hypersphériques (incluant donc les cercles, les sphères et les hypersphères), les variétés hyperellipsoïdales[1] et les points.

Il est à noter que, l'essence du vide étant tout de même globalement continue, les singularités de forme ponctuelle se manifestent généralement sous la forme de puits ou de pics.

Il arrive parfois que des singularités ponctuelles se retrouvent proches les unes des autres, formant alors des chaînes (si il s'agit d'un assemblement de pics) ou des fosses (pour un assemblement de puits).

Directions[]

Les singularités vacuitiques influent généralement sur un nombre restreints de flux. Elles agissent alors sur ces flux de deux manières : soit attractives, soit répulsives.

Une singularité est rarement purement attractive ou répulsive; elle plus souvent les deux (attractive pour certains flux et répulsives pour d'autres).

Les singularités attractives sont notées avec un "+" (éventuellement précédé de la structure concernée) et les répulsives avec un "-".

Natures[]

Il est assez difficile de qualifier la nature d'une singularité; en général celle-ci dépend des flux sur lesquels elle agit, ce qui est quelque chose de presque imperceptible et imprévisible.

Plutôt que de se baser sur les flux, on se base donc plus volontiers sur le type d'effets qu'elles engendrent.

On compte alors plusieurs dizaines de types de singularités, regroupés en catégories :

  • Les singularités hyléformes : elles agissent sur les flux assurant la cohésion de la matière, et finissent donc généralement par former des agrégats de matière. Les singularités hyléformes répulsives (MLS-, pour matter like singularity) ont souvent tendance à expulser de la matière hors de la zone de singularité, d'où leur appellation de "générateurs de matière".
  • Les singularités higgsienne (ou gravitationnelles) : elles agissent directement sur la densité et/ou l'effet du champs de Higgs, créant ainsi des zones de gravitation intense ou au contraire très faible.
  • Les singularités ionisantes : elles agissent sur les bosons responsables de l'interaction forte et ont donc tendance à transformer les atomes en ions, voire à transformer les particules en "soupes" de particules sub-atomiques.
  • Les singularités entropiques : ces singularités sont très difficiles à étudier et on sait assez peu de choses quant à leur formation et leur fonctionnement. Il semble qu'elles soient extrêmement délétères pour tout ce qui les approche, indépendamment de sa nature.

Intensité[]

L'intensité des effets d'une singularité est directement liée à la densité de l'essence du vide qui la compose et la variation de cette densité entre le milieu "normal" et celui de la singularité. Les singularités dont la densité est très différente du milieu où elles se trouvent on donc plus d'effet, et les singularités plus denses ont par ailleurs plus d'effet.

Comme il est difficile de quantifier la densité de l'essence du vide (surtout au voisinage de singularités), on classe généralement la puissance des singularité selon l'échelle suivante :

  • Très basse (VLDS pour very low density singularity)
  • Basse (LDS pour low density singularity)
  • Haute (HDS pour high density singularity)
  • Très haute (VHDS pour very high density singularity)
  • Extrêmement haute (HyDS ou S* pour hyper-dense singularity)

Pour quantifier la différence de densité entre le milieu "normal" et celui de la singularité, on étudie le logarithme de la norme euclidienne du gradient de la densité au voisinage de celle-ci, ce qui donne un nombre (généralement arrondi à l'inférieur) que l'on appelle ordre d'intensité.

Plus ce nombre est élevé et plus la singularité occasionne une discontinuité forte dans l'essence du vide (1 correspondant donc aux singularité faiblement discontinues).

L'ordre d'intensité le plus élevé qu'il est été donné d'observer est 17 pour S*+ 791-892.

Notes[]

  1. Les hyperellipsoïdes semblent à première vue regrouper les hypersphères, mais sur le plan de la théorie, et notamment de la théorie des Singularités Isomorphes, ceci n'est pas exactement vrai, les variétés étant engendrées par des phénomènes différents.
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